Steaua : métro, boulot, bobo
Le club le plus à l'est de la capitale cultive une particularité ces derniers temps : les blessures à répétition. De tous temps pourtant le Steaua a fait face aux blessures sans sourciller. Explications du phénomène en images.
Le Steaua invalides a toujours pratiqué un jeu alerte basé sur un engagement total ne laissant pas de place à un quelconque relâchement. Première victime de ce jeu aussi musclé qu'engagé : David. En effet notre latéral ne peut plus concilier joies nocturnes et tacles glissés matinaux. Voici ci-contre la dernière photo (connue) que nous avons de lui.
Le Steaua est adepte des agressions caractérisées? Ici aux grands débuts du club agression et preuve par l'image : coup de genou à joueur au sol. Marc blessé pour 5 mois, David suspendu 8 mois.
Les règlements de compte sont monnaie courante au Steaua. Ici précisons que ce ne sont pas les crampons de Sandri qui s'essuient sur le nez d'Alexis. Résultat : pas d'indisponibilité mais de la chirurgie esthétique prise en charge par la sécu.
Sur cette photo le Steaua ne peut que respecter la vie privée (qui a l'air agitée) de chacun...
Le souffle coupé Sandri reprend ses esprits après un ballon perdu aussi inatendu que douloureux pour ce gaillard qui n'a pas hésité à donner son corps à la science. Bilan : 3 points de sutures...
Enfin pour terminer : agression, tacles dangereux, claquage ? Non Alexandre vient juste de passer la 20e minute de jeu.
Comme vous avez pu le constater, images à l'appui, le Steaua invalides cultive une grande tradition de jeu musclé, engagé, passionné et passionnant, exposant ces joueurs au dépassement de soi et à une expérience unique : le football total dans toute l'acceptation du terme.